« Share » vie privée

La protection de la vie privée est inscrite dans la Déclaration universelle des droits de l’homme des Nations Unies.

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Nul ne sera l’objet d’immixtions arbitraires dans sa vie privée, sa famille, son domicile ou sa correspondance, ni d’atteintes à son honneur et à sa réputation. Toute personne a droit à la protection de la loi contre de telles immixtions ou de telles atteintes.

C’était en 1948 et depuis beaucoup d’eau a coulé sous les ponts. Nous vivons aujourd’hui à l’ère de la vidéosurveillance. Elle s’est banalisée et tout le monde trouve ça normal ?! À Londres par exemple, un habitant peut être filmé jusqu’à 300 fois par jour. Avec le très haut-débit, je pense à la 5G, il y a fort à parier que la technologie va devenir smart et évoluer vers un système couplant la vidéosurveillance intelligente des personnes avec la mobilité intelligente des voitures tout en intégrant les techniques d’enregistrements de données biométriques. Ajoutez à ce dispositif un zeste d’intelligence artificiel et d’auto-apprentissage et vous aurez alors un système de traçage de la population ultra-performant et coercitif.

Ordinateur, internet et smartphone ayant fait également irruption dans nos vies, nous passons aujourd’hui beaucoup de temps devant nos objets connectés. Cette technologie est conçue pour être fascinante et addictive.

La frontière entre vie publique et vie privée s’est estompée, autrement dit la vie privée est en danger ! D’une part par le flot d’informations que nous donnons volontairement au réseau (le sujet de cet article), et d’autre part par le flot d’informations récoltées par le réseau à notre insu (le sujet de cet autre article).

En effet on nous a appris à divulguer à travers d’innombrables formulaires, questionnaires et sondages tout un pan de notre vie privée à des organismes tiers. Nous avons signé digitalement de nombreux contrats et conditions générales de ventes. Je vous invite à lire la politique de confidentialité client chez le constructeur de voiture Tesla, un bijou en la matière. La liste d’informations recueillies est éloquente.

La vie privée est mise à mal sur les réseaux sociaux tels que Facebook, Twitter, Instagram, WhatsApp, Snapchat et autres. Les jeunes sont particulièrement accro à ces réseaux. Mark Zuckerberg, patron de Facebook, la plateforme aux 2 milliards d’utilisateurs actifs, dit lors d’une interview début 2010 que la norme sociale a évolué et que les gens sont plus ouverts et à l’aise avec le fait de partager de plus en plus d’informations de tout ordre. Que Facebook ne fait que suivre cette évolution des mentalités.

Ce qu’il omet de dire le bougre c’est que c’est lui et ses amis créateurs de réseaux sociaux qui ont fait évoluer la norme sociale – régresser je dirais – ils ont conçu Facebook & co sur l’exploitation d’une vulnérabilité de la psychologie humaine. Écoutons Sean Parker, ex-président et co-fondateur de Facebook (source BBC) :

« Le processus de réflexion qui a mené à la création de ces applications, Facebook étant la première, a consisté à se demander : Comment allons-nous nous y prendre pour consommer un max de votre temps et de votre attention ? Réponse : en vous donnant de temps en temps un petit influx de dopamine lorsque que quelqu’un aime ou commente une photo, une publication, ou autre. Cela va vous inciter à publier plus de contenu, pour lequel vous allez récolter encore plus de j’aime et de retours. C’est une boucle rétroactive de reconnaissance sociale, exactement le genre de chose qu’un hacker comme moi pouvait trouver car vous exploitez une vulnérabilité de la psychologie humaine.

Les inventeurs, créateurs – moi, Mark [Zuckerberg], Kevin Systrom d’Instagram, l’ensemble de ces gens – nous étions pleinement conscient de ce processus, … et nous l’avons fait quand même. »

Les réseaux sociaux exploitent le besoin d’amour, le besoin de reconnaissance, le besoin de se sentir important. Ils manipulent et créent une gigantesque illusion qui détruit rapidement le tissu social de notre société. C’est ce qu’affirme Chamath Palihapitiya, ex-cadre supérieur et autre repenti de chez Facebook qui a quelques phrases chocs au sujet du réseau qu’il a contribué à faire grandir.

« Je peux contrôler mes décisions, à savoir “Je n’utilise pas cette merde” [Facebook]. Je peux contrôler les décisions de mes enfants à savoir “Ils ne sont pas autorisés à utiliser cette merde“. … Vous ne le réalisez pas, mais vous êtes programmé ! »

Voici un extrait de son intervention en novembre 2017 à la Stanford Graduate School of Business.

Comment s’en sortir ? Chamath Palihapitiya donne la solution. Il dit :

Si vous nourrissez la bête, cette bête vous détruira. Si vous la repoussez, nous avons une chance de la contenir et de la maîtriser.

Cela est possible si l’individu prend du recul, se débranche de temps en temps et se questionne.

Si vous êtes un adepte du : Je n’ai rien à me reprocher, donc je n’ai rien à cacher. Eh bien, vous êtes tombé dans le panneau ! C’est ce qu’on vous serine à longueur de journée pour que vous renonciez à votre liberté. Mais voyez-vous, la vie privée n’a rien avoir avec ce que l’on dissimule !

La vie privée est indispensable à notre équilibre psychique et spirituel. Nous sommes humains, nous respirons, la vie privée est aussi vitale que l’inspire. Nous avons besoin d’un espace protégé où nous pouvons nous poser, nous ressourcer, nous recentrer, nous réaligner. Nous avons besoin d’intimité et de calme pour réfléchir, pour aimer, pour nous organiser et mûrir nos projets. Nulles influences extérieures devrait venir perturber notre auto-détermination à saisir ce que l’on souhaite au plus profond de notre cœur.

Il est donc important de se déconditionner, d’apprendre à découvrir ce qui est juste pour soi, et ce qui ne l’est pas. Sachez qu’il existe un outil, un livre-jeu, créé par Pierre Lassalle, qui permet pleinement de devenir soi-même.

C’est Le Nouveau Tarot de l’individualisation.

Pratiquer ce jeu permet d’assouplir et de dynamiser sa pensée, de dévoiler et de renforcer son individualité.

Plus vous vous connaîtrez en profondeur et plus vous serez armé pour résister aux tentations de la conso-Matrice car vous serez plus concentré et conscient face aux nouvelles technologies.

Ça va alors être beaucoup plus difficile au système de vous soutirer les informations que vous ne voulez pas donner.

La vie privée est vitale pour notre futur, apprenons à en prendre soin.

 

Voulez-vous être augmenté ?

crédit photo : Aimée Mullins photographiée par Howard Schatz

Voulez-vous être augmenté ?

À priori cette question semble incongrue, n’est-ce pas ?

Mais ici, il ne s’agit pas d’augmentation au sens où on le comprend généralement.

Alors de quoi s’agit-il ?

Depuis une vingtaine d’années l’accélération du progrès technique s’est fait ressentir très nettement dans tous nos domaines de vie. Par exemple nous vivons aujourd’hui dans un monde peuplé d’écrans, nous ne pouvons plus nous en passer ?! Il suffit de penser à la progression : télévision, internet, smart phone, google glass, implant… L’écran se rapproche à un point tel qu’il commence à faire partie de … nous ?!

C’est assez remarquable. La technologie sait se faire désirer, elle nous absorbe, se substitue au vivant. Aujourd’hui on fabrique des pieds, des chevilles, des hanches bioniques qui imitent parfaitement les mouvements biologiques naturels. On commence à voir apparaître de minuscules dispositifs électroniques implantés dans le corps qui peuvent se connecter directement au système nerveux. Dans le cerveau ils peuvent convertir les intentions du greffé en commandes informatiques et piloter un ordinateur par exemple. Imaginez ces dispositifs reliés à un exosquelette, ça ne vous rappelle rien ?

Un courant est né il y a une trentaine d’années pour promouvoir cette idée de l’homme-cyborg, c’est le transhumanisme. La technologie est leur dieu, et ils espèrent bien faire naître à terme, grâce à la fusion progressive de l’homme et de la machine, une nouvelle espèce plus performante, un surhomme ancré dans la cybernétique.

Ce courant s’est trouvé un « ami » dans le néolibéralisme, qui lui vénère le dieu argent et voit un eldorado inépuisable s’ouvrir devant lui. Et pour cause, c’est une chose par exemple de remplacer une jambe par une prothèse bionique afin de remarcher, c’est autre chose quand un soldat se fait greffer une jambe artificielle pour pouvoir retourner sur le champ de bataille … et continuer à « faire son travail ». Aujourd’hui on peut observer l’avancée des nouvelles technologies dans de nombreux domaines sportifs. Par exemple en tennis les raquettes des joueurs ne sont plus en bois mais en fibre de carbone. Ce matériau composite a gagné aussi le cyclisme. En natation, la chimie est devenue un facteur clé dans l’élaboration des combinaisons des nageurs. La technologie avance dans tous les domaines, on recherche la légèreté, la performance, le gain. D’ici peu on verra apparaître un marché de masse pour toutes sortes de procédés afin d’améliorer son corps et ses perceptions. Nul doute que la propagande néolibérale veillera à ce que toutes et tous désirent s’augmenter, ne maîtrisent-ils pas le neuro-marketing ? Ce sera la course à qui s’augmente plus plus. Ceux qui le feront seront bien vu par la matrice, ils auront un job car ils auront un avantage concurrentiel et compétitif par rapport à ceux qui ne le feront pas.

Bienvenue à Gattaca.

La fabrique du consentement tourne inlassablement pour nous habituer et faire accepter ce futur « contre-nature », générateur d’encore plus de compétition, de méfiance, d’insécurité, d’agressivité et de destruction.

La société consumériste et ultralibérale prépare un futur

dans lequel le surhomme dépassera l’homme normal non pas en qualité, mais en quantité, à travers une personnalité élargie, un ego magnifié, un pouvoir mental accru et une force démultipliée, exerçant sa domination destructrice sur l’humanité et la Nature

Sri Aurobindo – La Vie Divine II, 28

La solution est d’une part de se détacher de ce que la matrice nous propose, ne pas gober tout cru ce futur sous gouverne de progrès, étudier, réfléchir. Cela amène à se différencier, ce qui est très bien pour apprendre à se connaître et réorienter son énergie vers ce qui nous paraît essentiel pour notre équilibre et notre évolution, et donc d’utiliser les nouvelles technologies à bon escient.

L’avènement du surhomme n’a rien avoir avec le produit de consommation élaboré par la matrice, Sri Aurobindo – un authentique Initié – en dit ceci

« Ce qui doit émerger est quelque chose de beaucoup plus difficile, et de beaucoup plus simple ; c’est un être qui a réalisé son Moi, c’est une édification du Moi spirituel, une intensité et un élan de l’âme, la libération et la souveraineté de sa lumière, de son pouvoir et de sa beauté… Une conscience nouvelle en laquelle l’humanité même trouvera son propre accomplissement et son propre dépassement par la révélation de la divinité qui s’efforce de naître en elle. Telle est la seule et vraie surhumanité, telle est la seule possibilité de faire un vrai pas en avant dans l’évolution de la Nature. »

Vous voulez en savoir plus ?

Même s’il date déjà un peu, Philippe Borel avec son excellent reportage « Un monde sans humains ? » nous livre un documentaire saisissant où scientifiques, techno-prophètes et philosophes débattent de « l’à venir ». Fruit de deux ans d’immersion dans les techno-sciences il lève le voile sur un univers futuriste, plus réel et imminent qu’il n’y paraît.

Ce documentaire est disponible sur l’ARTE boutique

De la domination par le contrôle social

Dans quel monde vivons-nous réellement ? Voulons-nous le savoir ?

Quand on lit le dossier Lumière dans la Matrice de Pierre Lassalle on peut se dire peut-être que l’auteur dramatise ou exagère, que ce n’est pas si grave que ça. Nous sommes libres, nous vivons en occident et la manipulation n’est pas possible en démocratie. La « matrice » n’existe pas, c’est une chimère….

Lisez l’intégralité de cet article sur Pierre-Lassalle.org

century of selfThe Century of Self

Un documentaire éloquent et primé d’Adam Curtis qui nous expliquent comment est née la conso-Matrice !

Une série de quatre documentaires qui étaye le dossier « Lumière dans la Matrice » de Pierre Lassalle.

Qui a dit que nous vivions dans une société respectueuse des valeurs humaines ?

Au sujet de la méditation

Peut-être qu’un jour vous vous êtes dit :

« Je veux méditer ! »

Et qu’en vous disant ça, des peurs soient montées et qu’une petite voix intérieure s’est fait entendre :

« Mais c’est trop compliqué, il faut être balaise pour méditer, c’est pas à la portée de tout le monde, d’ailleurs il y a plein de techniques de méditations, c’est quoi la bonne ? T’es sûr que tu veux faire ça ? Mais t’y penses pas, t’as pas le temps avec tout ce que tu fais déjà … »

Si on l’écoutait on ne ferait plus rien, non mais !

Cela dit, il n’est pas aisé de s’y retrouver dans les différents types de méditations proposées aujourd’hui, chacun y va de sa petite affaire. Comment y voir clair ? Qu’est-ce que la méditation, quel est le type de méditation qui me convient, etc.

Voyons un peu.

Le mot méditation vient de « meditacion »action de réfléchir profondément et de « meditatiun » contemplation.

La contemplation est en relation avec le religieux, dans le sens « religare »se relier (je ne parle pas ici de religion), c’est un acte choisi, une profonde application de l’esprit à vouloir se relier au monde spirituel afin d’y être à la fois absorbé tout en restant conscient face au divin.

Donc le but de toute méditation est de créer un lien conscient avec le divin. Sa pratique renforce l’esprit, la partie qui dit « Je ». C’est profondément humain. On se trouve ici au-delà des croyances, des religions ou encore de l’athéisme.

Pierre Lassalle écrivain et créateur de l’Intériorisation, une méditation occidentale, va même plus loin. Il dit qu’aujourd’hui rester assis sur son coussin pour trouver la paix n’est plus suffisant. Le bien conquis en méditation doit devenir création et profiter à autrui. Voici un passage qui illustre cela dans son livre La Vie Spirituelle – Lumière sur le sentier spirituel occidental.

« Ainsi, la méditation, que j’appelle « créatrice », trouve sa place dans un art de vivre où l’individu est relié au monde spirituel, d’une part, et au monde extérieur, d’autre part, afin d’harmoniser son existence et de contribuer à l’amélioration des relations humaines. »

À proprement parlé, la méditation et plus particulièrement la méditation occidentale n’ont donc rien à voir avec :

  • Faire le vide en soi, puisqu’au contraire on s’exerce à se concentrer, à activer sa pensée par le questionnement. L’individualité se déploie.
  • Le bien-être, la santé, trouver la paix, se déstresser, se faire plaisir, se sentir mieux dans sa peau, le moment présent, c’est-à-dire tout ce qui a attrait à la personnalité qui est tournée vers les émotions, le corps physique et les préoccupations matérielles.

Bien sûr, cela n’empêche pas au méditant d’en retirer des bienfaits dans sa vie, mais ce n’est pas le but recherché.

Des méditations, il en existe des centaines, beaucoup d’écoles en enseignent, mais à y regarder de plus près, quasi toutes sont tournées vers le bonheur de la personnalité, incroyable non ?!

D’où vient cette confusion entretenue par l’utilisation abusive du mot méditation, pour des activités qui se détournent du sens étymologique initial ? Des termes comme relaxation, lâcher prise ou encore dé-cristallisation émotionnelle seraient plus appropriés … et plus honnêtes.

Ces techniques puisent leur source majoritairement dans le bouddhisme. Or le Bouddha Gautama vivait 600 ans avant Jésus-Christ et à l’époque il s’agissait pour l’être humain de maîtriser son corps, ses désirs, il allait vers l’autonomie. Tout cela le préparait à devenir une individualité avec une pensée propre afin de gouter à la liberté. Aujourd’hui, quelque 2 600 ans après, le Christ étant passé par là, nous avons acquis cette individualité, et avec elle une bribe de liberté. L’Homme doit maintenant librement se retourner vers le divin pour co-créer avec lui un monde nouveau afin que notre Terre devienne un Soleil. Eh oui, nous évoluons.

Donc le mouvement s’est inversé ! Il ne s’agit plus de se complaire dans la matière et de descendre encore, mais d’en s’extraire tout en gardant les deux pieds bien sur Terre !

Les techniques méditatives de dé-cristallisation, de relaxation, de concentration, de lâcher prise, sont bénéfiques, car elles permettent de refaire circuler la vie en soi. Elles ont donc leur place.

J’ai pratiqué des méditations Osho, bouddhistes, et autres assises. Toutes ces techniques avaient en commun qu’elles se pratiquaient dans le corps physique. J’ai pu vérifier qu’elles mettaient l’accent sur le côté matériel des choses.

Je pratique aujourd’hui l’Intériorisation, une méditation occidentale qui se vit dans le corps éthérique, le corps énergétique ou vital. Celle-ci met l’accent sur le côté spirituel et vise à associer matériel et spirituel de manière harmonieuse.

Quand on connaît les deux façons de méditer il est facile de voir la différence, elle est nette. Une débutante en méditation m’en témoignait récemment. L’Intériorisation nous sort de l’ordinaire et nous fait entrer dans l’extra-ordinaire ce qui donne chaud au cœur car on découvre notre vrai chez-Soi.

« C’est trop bien ! » me témoignait-elle.

Le fruit de la méditation occidentale est une créativité qui profite à l’humanité. Elle est la solution aux problèmes humains et sociétaux. Elle prépare à la Fraternité.

Alors pourquoi la torpiller en la noyant dans la masse ?

En effet, on peut aisément constater que tout est fait dans la société actuelle pour « éclipser » la véritable méditation. Par exemple, il existe une école occidentale de méditation qui n’a rien à voir avec la méditation occidentale ?!

Il faut oser quand même.

La technique enseignée puise sa source dans le bouddhisme. Euh, occidental avez-vous dit ?

Cette méditation est connue aussi sous les appellations « mindfulness meditation » ou « méditation de pleine conscience ». Son créateur est Jon Kabat-Zinn, un professeur de médecine qui sort du MIT (Massachusetts Institute of Technology). Son but ? Aider les gens à se déstresser et il y en a, c’est sûr. Donc la méthode est intéressante à ce niveau-là, mais ce n’est pas de la méditation à proprement parlé, et encore moins de la méditation occidentale !

Et quand je lis les propos d’un professeur « émérite » et enseignant en Sciences de l’éducation qui écrit à l’occasion de la sortie d’un livre de Patrice Midal – le fondateur d’une école occidentale de méditation – début 2014.

« Ce livre est sans aucun doute, à mes yeux, l’un des plus pertinents pour comprendre la nature singulière de la méditation laïque tant recherchée par les Occidentaux. »

Je me révolte, car on essaie de nous faire avaler que l’Homme est en quête d’une méditation laïque, c’est-à-dire déconnectée du divin, et on qualifie cela de méditation occidentale, c’est tout le contraire de ce que devrait apporter la méditation !?

Quelle tromperie !!

C’est une vilaine manipulation comme on en voit partout autour de nous, dans le seul but d’enchaîner l’être humain à la « conso-matrice ». Ce qu’il y a de plus beau et de plus noble, la capacité à vouloir se relier consciemment et librement au monde spirituel est pollué et occulté par ces dérives abusives et mensongères. La matrice sait qu’il y a une demande et elle s’active à « capter le marché » pour remplacer ce qui est vivant et évolutif par ce qui est mort et involutif … afin de garder tous ses esclaves qui la nourrissent.

Mais nous ne sommes pas obligés de nous laisser faire, n’est-ce pas ?

Nombreux sont celles et ceux qui ne veulent plus de cette société aliénante génératrice de tant de destruction. Ils aspirent à un monde nouveau, plus humain, plus spirituel et réaliste. L’homme aspire à se reconnecter à sa Source, au divin car il voit bien qu’il est dans une voie de garage et la raison de son cœur lui montre le chemin. Même s’il doute, il cherche quand même et il a raison de persévérer car la méditation est la voie royale vers la Liberté et l’Amour, le levier par lequel tout devient possible.

Vous voulez connaître la vérité ? Alors je ne peux que vous conseiller d’expérimenter la méditation occidentale live avec les créateurs de l’Intériorisation. Après, vous saurez !

Je ne transmets pas la technique, mais organise régulièrement des soirées pour faire découvrir cette méditation à partir de CDs enregistrés par ce créateur, Pierre Lassalle.

Si vous lisez cet article c’est que l’Aventure vous tend la main.

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